E-mail:

Tel.: + 33 6 72 28 77 21
+ 33 6 63 44 93 49
Ju-Jitsu
En Français
(traducción no disponible)

Débats


Infos-Inter
agence internationale de presse

Texte en français

L’ahurissante anomalie
du Ju-Jitsu en France

Si Jean-Luc Rougé et Eugène Domagata ont eu toute facilité pour abuser, depuis des années, des centaines de milliers de jeunes et moins jeunes, voire l’Etat, en collant abusivement l’étiquette de Ju-Jitsu à quelque chose qui n’y avait rien à voir, c’est grâce à une grave anomalie qu’on constate en France

à savoir qu’il n’y existe pas un diplôme ou un brevet officiel spécifique habilitant à l’enseignement d’un art martial prestigieux, utile et très demandé tel le Ju-Jitsu

Il n’y a qu’un brevet d’Etat de… "Judo-Jujitsu", que pour obtenir il faudrait être d’abord ceinture noire 2e Dan de Judo…

Brevet qui ne peut donc concerner les experts de Ju-Jitsu, vu que normalement ils ne s'intéressent pas au Judo, qui leur donnerait des réflexes suicidaires pour les situations réelles

Cela engendre des conséquences très négatives pour les intérêts de la France

Car il ne s’agit pas d'un simple problème de sports ou de loisirs, vu que ses dégâts s'étendent à beaucoup d’autres domaines : à la formation professionnelle dans la police, la gendarmerie, l'armée, par exemple; et à celle de citoyens à la personnalité équilibrée, solide et souple en même temps, en mesure de donner un apport sensiblement positif à eux-mêmes et à la société.

Mais voyons cette affaire de plus près…


Récemment a eu lieu à l’INSEP (l’Institut National du Sport et de l’Education Physique) une séance-test, encouragée par des autorités politiques et sportives, au sujet de la discipline que la fédération de Judo FFJDA, présidée par M. Jean-Luc Rougé, affiche comme Ju-Jitsu.

Au cours de cette séance maître Stefano Surace - l’un des experts en Ju-Jitsu les plus réputés mondialement, doublé d’un célèbre journaliste d’enquêtes et d’opinion – a testé le responsable technique du secteur « Ju-Jitsu » de la FFJDA, M. Eugène Domagata, et ses élèves, sur la base des techniques et de leurs applications en conflit physique qu’ils lui ont montrées.

Il a ensuite formulé un rapport détaillé, dont la conclusion est qu’il ne peut pas cautionner cette discipline comme étant du Ju-Jitsu, vu que, entre autre, elle expose constamment et dangereusement les points vitaux des pratiquants.

M. Rougé et M. Domagata avaient pourtant fait croire pendant des années, à centaines de milliers de jeunes et de moins jeunes, qu’on leur apprenait du Ju-Jitsu.

En obtenant ainsi, de certains bureaux de l’Etat, privilèges, « délégations » et aides de tout genre.

Et cela tout en affichant un « code moral » où la sincérité et l'honneur seraient au premier rang…

Le Conseil Constitutionnel

« Infos-Inter » a alors estimé d’effectuer une enquête sur cette drôle d’affaire, en ligne avec le droit-devoir de la presse d’informer les citoyens sur tout sujet d’intérêt public, ce qui est son rôle essentiel.

Enquête intitulée « L 'allègre arnaque du Ju-Jitsu de la Fédération de Judo sortie en plein jour », dont nous résumons ici le contenu.

D’abord il est résulté que M. Rougé, s’étant présenté il y a quelques années comme candidat à des élections législatives, a été déclaré inéligible par le Conseil Constitutionnel, car il n’avait pu expliquer où il avait pris l’argent qu’il avait largement dépensé pour sa campagne électorale.

Ce qui a fait penser qu’il l’avait détourné des fonds de la FFJDA, dont à l’époque il était le directeur technique.

Voici, pour la précision, un extrait de la décision du Conseil Constitutionnel concernant Rougé :

« Considérant que le compte de campagne déposé par M. Rougé comporte un excédent des dépenses sur les recettes justifiées;

« Que l'intéressé n'a fourni à la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques aucune précision quant à la couverture de ce déficit;

« Que, s'il soutient pour la première fois devant le Conseil constitutionnel que cette couverture serait assurée par un organisme dit " Rassemblement par le sport ", il n'apporte, en tout état de cause, aucune justification à l'appui de cette allégation;

« Qu'ainsi ce compte ne fait pas apparaître les moyens par lesquels le candidat a assuré le financement de l'intégralité de ses dépenses de campagne et méconnaît par suite les dispositions précitées de l'article L. 52-12 du code électoral;

« Que c'est dès lors à bon droit que la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques a prononcé le rejet du compte de campagne de ce candidat;

« Qu'il appartient par suite au Conseil constitutionnel de constater que M. Rouge est inéligible ;

« Décide:

« M. Jean-Luc Rouge est déclaré inéligible, en application de l'article L.O. 128 du code électoral ».

Le comptes, le Grand Orient de France
et l’ « opération homonymie »

Par la suite Rougé, en tant que directeur administratif de la FFJDA, a eu du mal à en faire connaître les comptes, si bien que le tribunal administratif de Paris a condamné cette fédération à les communiquer sous astreinte d’une pénalité par jour de retard.

En outre, à la suite d’autres « affaires » que pour décence nous nous abstenons ici de préciser, le Grand Orient de France l’a désavoué publiquement et expulsé.

Quant à M. Domagata, il s’est rendu protagoniste, avec certains de ses amis, d’une fameuse imposture connue sous le nom d’« opération homonymie », en créant en 1987 deux organismes auquel ils donnèrent les dénominations IJJF et EJJU.

C'est-à-dire exactement les mêmes dénominations que deux organismes créés 9 ans avant, en 1968, par maîtres Masafumi, Hasemeier et Bell, dont la IJJF est reconnue par l’Unesco comme l’organisme officiel régissant le Ju Jitsu dans le monde, la EJJU en étant la section pour l’Europe.

Cette « opération » de Domagata et de ses amis avait donc le but évident, voire délictuel, de faire croire frauduleusement aux ignares – y compris certaines autorités – que c’étaient eux-mêmes qui régissaient le Ju-Jitsu dans le monde, et ainsi obtenir des aides juteuses de certains bureaux gouvernementaux.

Si bien que par la suite, étant donné l’évidence de la fraude, Domagata et ses amis furent astreints à abandonner ces dénominations sous menace de lourdes mesures judiciaires.

Les dojos-garderie et les pédophiles

Quant à l’action de Rougé dans le cadre général de la FFJDA, on constate que depuis des années, d’abord sous sa direction technique, ensuite sous sa direction administrative et maintenant sous sa présidence, la FFJDA ne fait que voir volatiliser, et pour cause, ses adhérent adolescents et adultes ; et même, à présent, les résultats dans les compétition olympiques.

Si bien que, pour essayer de déguiser cette volatilisation massive, Rougé n’a trouvé rien de mieux qu’inscrire même les petits enfants de… 3 ans, de façon à ne pas faire écrouler, malgré tout, les nombre total des licenciés.

Vu que, pour chaque licence, l’Etat y ajoute un joli versement au titre de subvention.

Mais le résultat de ce recrutement massif de gamins a été de transformer quantité de dojos en garderies.

Ce qui a favorisé un phénomène révoltant, attesté par la multiplicité des condamnations pour actes de pédophilie et violences sexuelles, prononcées à l’encontre de certains dirigeants ou enseignants de club de judo (l’un d’eux a échoppé même 10 ans de prison).

Or, en ce qui concerne la fédération FFJDA, il s’agit sans doute d’un phénomène affectant une partie très limité, voire infime, de profs et de dirigeants.

Mais cela suffit à jeter l’ombre de la méfiance et du discrédit sur cette catégorie tout entière, bien qu’elle soit constituée en réalité, dans son écrasante majorité, d’éléments propres et très méritants, souvent même bénévoles, qui donnent le meilleur d'eux-mêmes à cette discipline sportive.

Les profs et les dirigeants de Judo peuvent donc remercier M. Rougé, et sa vive attirance pour l’argent de l’Etat, qui l’a fait passer irresponsablement outre à une prudence élémentaire, avec des conséquences si désastreuses pour l’image du Judo et de ses professeurs, ainsi que pour certains malheureux gamins.

Ce n’est pas par hasard si les garderies normales sont confiées exclusivement aux femmes, et non pas aux hommes.

Et le comble, en tout cela, est que M. Rougé, après avoir favorisé l’infiltration dudit phénomène révoltant dans le Judo français, non seulement ne fait rien pour protéger les petits judokas, mais arrive à lancer de la publicité massive, même à la télé (avec l’argent de l’Etat) pour pousser les parents à envoyer leurs enfant à… « jouer au judo ».

Evidemment tout cela a suscité de fortes critiques à l’encontre de Rougé au sein même de la FFJDA, mais la solution a été très simple : toute une série de dirigeants qui n’appréciaient pas ces situations se sont vus éliminés comme des malpropres : Fabien Canu, Stéphane Traineau, Yves Delvingt, François Fournier.

Questions sans réponses…

Or, l’enquête d’Infos-Inter a suscité pas mal d’émotion dans les milieux du Judo.

Si bien que beaucoup de profs de cette discipline, et leur syndicat, ont sollicité Rougé et Domagata de manifester leurs objections au rapport de maître Surace, s’ils étaient en mesure de le faire.

Sollicitations qui, pourtant, se sont avérées vaines.

Par exemple Sylvain Esclapez, le responsable du site internet « France-Judo » très proche de la FFJDA, a fait savoir, le 9 juin dernier, avoir posé une série de questions à Domagata, auxquelles celui-ci s’est dérobé de répondre.

Ce qui a fait déferler sur Domagata et Rougé une vague massive de commentaires cinglants et sarcastiques de la part des profs de Judo, de leur syndicat, et des judokas en général.

Mais il n’y a pas de quoi s’étonner si Domagata s’est bien gardé de répondre, vu les questions que Sylvain Esclapez lui avait posées. Par exemple :

Pouvez-vous nous présenter votre parcours martial ?
(Remarque : Que pouvait répondre le bon Domagata ? Qu’il avait fait beaucoup de choses dans sa vie, mais jamais du Ju-Jitsu ?)

Que pensez-vous de la formation des enseignants qui dispensent le judo-jujitsu ?
(Remarque : Que pouvait-il répondre? Qu’ils n’ont aucune idée du Ju-Jitsu, ne connaissant que celui faux de la FFJDA ?

Pensez-vous que le jujitsu soit indissociable du judo et de la FFJDA ?
(Remarque : Que pouvait-il répondre ? Admettre que les techniques et les reflexes du Judo actuel sont la négation même du Jujitsu ?)

Certains voient dans l’actuelle politique de promotion fédérale du jujitsu et des autres disciplines associées une volonté de recueillir des licences supplémentaires, qu’en pensez vous ?
(Remarque : Que pouvait-il répondre ? Qu’on avait recruté même les gamins de 3 ans en transformant quantité de dojos en garderies, favorisant ainsi des infiltrations de pédophilie dans le Judo français ?)

à quoi attribuez-vous votre baisse de résultats dans les compétitions internationales ?
(Remarque : Que pouvait-il répondre ? Que la plupart des jeunes et des adultes se sont volatilisé de la fédération, et que les profs de judo refusent honnêtement de céder aux « pressions » de Rougé d’envoyer leurs jeunes élèves à tout prix aux compétitions, étant donné le taux impressionnant de lésions physiques qu’ils y récoltent, dont souvent ils traînent les séquelles pendant toute leur vie ?)

De Charybde à Scylla…

Investis par cette vague de critiques et de sarcasmes, MM. Rougé et Domagata se sont trouvés enfin dans la nécessité de s’exprimer.

Mais ils ne l’ont fait qu’en se bornant à envoyer aux clubs de la FFJDA un courrier, signé par leur « vice-présidente et secrétaire général » Jean René Girardot, faisant part qu’ils avaient décidé de porter plainte contre
« Infos-Inter »…

Ce qui n’a pas manqué de faire sourire l’équipe de Infos-Inter, qui n’a qu’exercé son droit-devoir constitutionnel d’informer le citoyens d’un affaire d’intérêt public, et donc non seulement n’est pas censurable mais, bien au contraire, est digne d’éloges.

Sauf si le duo Rougé-Domagata serait en mesure de supprimer toute liberté de presse en France, ce qui parait difficile…

Il s’agit donc d’une plainte suicidaire, une tentative désespérée pour freiner la vague de discrédit par laquelle le duo se trouve investi.

Tentative pourtant vaine car, même dans ce courrier, ils évitaient toujours de répondre aux questions pressantes que les profs de judo et leur syndicat leur avaient adressées, en manquant cruellement d’arguments valides pour contester le contenu et les conclusions du rapport de maître Surace

Si bien qu’après ce courrier le déferlement des critiques et des commentaires sarcastiques fusant à leur encontre s’est multiplié, avec des échos cinglants même dans le forum du site de France-Judo, pourtant proche de la FFJDA.

En outre M. Rougé, totalement paumé sous l’emprise d’une rage incontrôlable contre ce méchant maître Surace, source de ses malheurs, n’a trouve rien de mieux que d’envoyer à certaines autorités un courrier calomnieux concernant celui-ci.

En tombant ainsi dans la position peu confortable de devoir répondre en justice du délit de dénonciation calomnieuse (art 226-10 du code pénal) qui prévoit une peine de cinq ans d'emprisonnement et de 45 000 euro d'amende.

Il ne faisait ainsi que suivre le chemin malheureux déjà emprunté par le directeur, un rédacteur et l’éditeur du quotidien « Le Parisien », qui se sont vus récemment condamnés pour diffamation, avec jugement définitif et exécutoire, ayant eux aussi eu la bonne idée de diffuser des mensonges au sujet de maître Surace…

à cela près que la position de Rougé apparaît bien plus grave que celle desdits condamnés, ses mensonges ayant été adressés spécifiquement à des autorités compétentes, si bien qu’on sort du domaine de la simple diffamation pour tomber dans celui bien plus grave, justement, de la dénonciation calomnieuse.

Le faux « signalement »…

Dans ce courrier en fait Rougé essayait encore une fois d’abuser les autorités, selon ses habitudes avérées, en affirmant que maître Surace n’aurait pas le diplôme nécessaire pour enseigner en France, et qu’il n’aurait pas le droit d’y afficher son 10 Dan, ce grade n’ayant pas été délivré par la Fédération de Judo FFJDA…

Ce qui relève du délire : en fait maître Surace dispense ses enseignements en France en vertu d’un diplôme délivré par une fédération agréée par le Ministère de la Jeunesse et des Sport, la Fédération Française pour l’entraînement physique dans le monde moderne (FFEPMM), diplôme homologué par le même Ministère.

Et pour ses enseignements il a été, même en France (ainsi que dans le monde entier) couvert d’honneurs par les autorités, y compris par M. Jacques Chirac, pour « avoir fait renaître à Paris le Ju-Jitsu authentique de haut niveau » qu’on estimait désormais perdu… Ce qui n’est pas rien.

Certes ce n’est pas de ce diplôme que vient son savoir célèbre dans le monde entier…

Mais la loi française a été en tout cas respectée, et des milliers de jeunes et moins jeunes français ont pu bénéficier depuis presque 20 ans de son enseignement du plus haut niveau.

Evidemment maître Surace pourrait avoir aussi le diplôme d’Etat français de Ju-Jitsu et même, étant donné son niveau et son prestige, en présider la Commission chargée de le délivrer…

Si ce n’était que ce brevet n’existe pas en France pour un art martial prestigieux, utile et très demandé tel le Ju-Jitsu.

Il n’y existe qu’un brevet d’Etat de… "Judo-Jujitsu", pour obtenir lequel il faudrait être d’abord ceinture noire 2e Dan de Judo…

Brevet qui donc ne peut concerner les experts de Ju-Jitsu, vu que normalement ils ne s'intéressent pas au Judo, qui leur donnerait des réflexes suicidaires pour les situations de conflit réel.

Il s’agit d’une anomalie qui n’existe qu’en France, et y a déjà fait beaucoup de dégâts.

Par exemple c’est justement grâce à cette anomalie que le duo Rougé-Domagata a pu abuser, pendant des années, de centaines de milliers de citoyens ignares, et l’Etat, en collant l’étiquette Ju-Jitsu à quelque chose qui n’y a rien à voir.

C’est comme vendre de la bière sous l’étiquette « Bordeaux supérieur »… Normalement on va en prison pour cela.

Par contre ils ont reçu, jusque là, nombre de privilèges, « délégations », aides de tout genre.

Quant au 10e Dan (c'est-à-dire la plus haute marque d’honneur dans le domaine des arts Martiaux) que maître Surace n’aurait pas le droit d’afficher en France car il ne lui a été délivré par la FFJDA, le doux délire de M. Rougé continue...

En fait la FFJDA n’a la moindre faculté de délivrer des 10e Dan, car l’organisme international privé auquel elle est rattachée, le Kodokan, ne l’autorise à délivrer des Dan en Ju-Jitsu que jusqu’à un niveau bien inférieur, ne lui reconnaissant pas la compétence nécessaire.

Si bien que le 10e dan Menkyo Kaiden a été délivré à maître Surace par un organisme qui, par contre, en avait la faculté, à savoir le Nippon Seibukan (All Japan Budo Fédération) présidé à l’époque par maître Masafumi Suzuki.

Grade ensuite reconnu par l’« International Ju Jitsu Federation » (IJJF), organisme présidé aussi par maître Masafumi Suzuki avec sa branche européenne, la « European Ju Jitsu Union » (EJJU) présidée à l’époque par maître Vernon C. F. Bell.

Pour la précision l’ IJJF, reconnue par l’Unesco, est depuis 1968
« l’organisation-mère mondiale de tous les styles de l’art martial japonais Ju Jitsu. Elle établit la formation dans les styles antiques originaux du Ju-Jitsu japonais, y compris l'autodéfense sans armes, cultive les valeurs spirituelles du Japon, effectue les recherches scientifiques sur les aspects physiques et mentaux du Ju-Jitsu. » (Annuaire des organismes internationaux).

Par la suite le 10e Dan de maître Surace a été reconnu par une série impressionnante d’organisme d’Arts Martiaux internationaux et nationaux.

Il est donc évident que prétendre, de la part de M. Rougé, que maître Surace n’aurait pas le droit d’afficher en France son 10e Dan parce que sa FFJDA ne le lui a pas délivré, relève du surréel.

Contre les intérêts de la France

De ce qui précède résulte donc que la France est le seul pays en Europe où le Ju-Jitsu non seulement n'est pas développé mais apparaît fortement entravé, voire persécuté, contre les intérêts précis de ce pays.

Il ne s'agit pas, en fait, d'un simple problème de sports ou de loisirs, étant donné que ses dégâts s'étendent à beaucoup d’autres domaines: à la formation professionnelle dans la police, la gendarmerie, l'armée, par exemple; et à celle de citoyens à la personnalité équilibrée, solide et souple en même temps, en mesure de donner un apport sensiblement positif à eux-mêmes et à la société.

Qu’il suffise de dire que la police française est la seule au monde à ne pas former ses effectifs au Ju-Jitsu.

En fait, elle devrait adopter ce que le duo Rougé-Domagata affiche comme le « Ju-Jitsu officiel » en France, en alléguant les privilèges que leur accordent certains organes de l’Etat qu’ils sont arrivés, jusque là, à abuser.

Mais la police français n’est pas dupe et refuse d’adopter ce « Ju-Jitsu » bidon l’estimant inefficace, et même suicidaire, dans les situations réelles, facilitant l'action de l'adversaire et étant donc bien loin de donner aux policiers, sur le terrain, des garanties suffisantes de sécurité et de ne pas faire de bavures, ainsi que souligné même par leurs organismes professionnels.

Même situation pour la gendarmerie nationale et l\’armée, qui s’entrainent à tout sauf à ce « Ju-Jitsu » de la FFJDA.

Il s\’agit donc d\’une situation hautement scandaleuse dont pas mal d’autorités, même au plus haut niveau, sont à présent bien conscientes, grâce au rapport du méchant maître Stefano Surace… Ce Sicilien grand amoureux de la France, qui depuis 30 ans se bat avec efficacité et courage, même au niveau international, pour les meilleures valeurs de ce pays et contre ceux qui essayent de les avilir.

Affaire à suivre.


Les destinataires de ce reportage sont autorisés exceptionnellement à le publier entièrement ou en partie, au titre tout à fait gratuit

Pour d’autres renseignements ou pour photos ou reportages exclusifs contacter

The recipients of this report are exceptionally authorized to publish it completely or partially, in the completely free title.

For other information to or photos and exclusive reports to contact

Google
Web www.surace-jujitsu.fr