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Ju-Jitsu
En Français
(traducción no disponible)

Témoignages

(par qui a pratiqué du Surace Ju-Jitsu)


Willy Jacq

Analyste informatique au Ministère de l’Intérieur

Mon premier contact avec le monde des sports de combat se fit à l’initiative de mon père par la pratique du judo dès l’âge de 6 ans et ce pendant 4 ans. Malgré l’aspect ludique de ce sport, je n’ai vraiment commencé à m’intéresser aux arts martiaux qu’à l’adolescence sans toutefois pratiquer, notamment à cause d’un manque de souplesse désastreux.

Je souhaitais depuis longtemps pratiquer une discipline de self-défense, n’étant pourtant pas d’un naturel bagarreur. Vers l’âge (limite pour moi) de 30 ans, je décidais d’entamer une recherche approfondie, malgré mon incompétence dans le domaine. De par mes lectures, notamment les «Chroniques martiales» de Maître Henry PLÉE, j’avais toujours en tête, telle une légende, un art martial millénaire, non dénaturé, différent des disciplines sportives actuelles de dérivation martiale, et surtout efficace.

Au début de l’année 2002, je commençais alors une étude de marché, surtout sur Internet. J’étais déterminé, une fois la discipline mûrement choisie, de m’y engager à fond. Autant dire que le choix résultant de ladite étude était capital.

Au cours de ma recherche (ou plutôt mon enquête) sur le Net, je tombais par hasard sur une interview de Maître Stefano SURACE («ça se discute» sur les Arts Martiaux : débat libre ?). Et là, je découvris avec stupéfaction une descente en règle des principales disciplines et personnalités «martiales» (même Bruce LEE y passait, vous vous rendez compte ?!).

Ma première opinion concernant Maître Stefano SURACE fut donc : «celui là, il est gonflé !!!».

Je poursuivais la lecture de cette interview et je fus convaincu par la pertinence des arguments avancés. Ensuite, je me suis alors dit que si le tenant d’un tel discours était encore vivant avec ce qu’il balançait, c’est qu’il avait les moyens de sa politique.

Après avoir lu l’intégralité des sites du Ju-Jitsu Butokukai et les connaissant quasiment par cœur, je me décidais à «venir voir» un cours. Je me présentais à mon premier cours fin mars 2002 convaincu à 90% que j’avais fait le bon choix. Les 10% restant furent balayés par le contenu du cours, mené par Bruno OVARLÉ : c’était exactement ce que je cherchais, en un seul cours j’avais étudié plusieurs situations de saisie et de frappe.
 Au bout de 3 ans de pratique, voici ce que je peux dire sur le Ju-Jitsu Butokukai :

·   Il ne faut pas chercher à aller trop vite lorsqu’on est débutant. Avant de gagner le Tour de France, il faut commencer par le vélo avec les 2 petites roues derrières (vous vous rappelez ?),

·  pour progresser, il faut surtout faire des combats,

·  le Ju-Jitsu Butokukai m’a permis de réveiller un instinct du combat que je croyais inexistant en moi alors qu’il était très atrophié. Ainsi les combats me sont de moins en moins désagréables au fur et a mesure que j’en fait,

·   un combat de Ju-Jitsu Butokukai ressemble à un combat de félins, dont le rythme oscille entre les moments de calme (lorsque les 2 félins sont tapis et à distance) et de tempête (lorsque les 2 félins se donnent des coups de griffes à une vitesse incroyable, la distance étant rompue),

·   je pratique surtout pour les bénéfices internes qu’il m’apporte,

·  malgré les progrès rapides constatés, je considère que j’ai encore un long chemin à parcourir.

Enfin, j’ai constamment à l’esprit le fait d’avoir une chance énorme d’être tombé par hasard (?) sur cet art martial authentique. Je remercie infiniment Maître Stefano SURACE d’avoir révélé cette méthode redoutable, si bénéfique pour ses pratiquants.

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Web www.surace-jujitsu.fr