Conservatoire
impérial japonais des arts martiaux jusqu’à la fin de la seconde guerre mondiale,
le Butokukai réunissait les grands maîtres des 11 plus importantes écoles de JuJitsu.
Ils furent chargés, par ordre de l’Empereur, d’élaborer une synthèse des techniques les plus efficaces de leurs écoles.
Cette synthèse fut dite « méthode suprême », étant censé être la meilleure méthode de self-défense jamais conçu.
Particulièrement efficace et structurée, elle ne fut enseignée qu’à une certaine élite qui se refusa à en assurer la diffusion après 1945, pour des raisons de cohérence avec leur éthique nipponne traditionnelle.
A la suite d’une série de circonstances exceptionnelles, détaillées dans son livre « La plume et la main vide »
Grandmaster Surace, 10e dan Menkyo Kaiden resta seul détenteur des secrets de cet art, et d’ autres arts martiaux japonais authentiques de haut niveau.
Et à partir de 1988 il estima important de le faire sortir de l’ombre, en le faisant rayonner dans le monde entier, pour empêcher qu’il tombe dans l’oubli, faisant partie du patrimoine universel.
Cette forme très perfectionnée de JuJitsu permet de se défendre avec une efficacité réelle et non violente, apporte des bienfaits étonnants pour la santé physique et psychique, et est inspirée d’une philosophie de haute valeur éthique et pratique.
Les 7 règles du Bushido y sont à l’honneur: amour de la vérité, courage et bravoure, bienveillance envers l’humanité, sens de la justice, sincérité, honneur, loyauté, harmonie entre les membres.